Dans 'Mes écrits. Les suffisances matamoresques appellent la finale crevaison grenouillère', James Ensor rassemble une série de textes polémiques, réflexifs et satiriques où il expose sa vision de l’art, de la société et de son propre rôle de créateur. Avec une verve incisive et un humour corrosif, il attaque les conformismes artistiques, les institutions sclérosées, la médiocrité bourgeoise et les « matamores » qui prétendent juger l’art. Ensor y développe ses positions esthétiques, exalte la liberté de l’artiste, célèbre l’imagination et tourne en dérision les critiques qu’il juge mesquines ou absurdes. L’ouvrage offre un accès direct à sa pensée, animée par le même esprit irrévérencieux, foisonnant et fantasque que ses peintures et gravures.

James Ensor Franz Hellens

James Ensor. Mes écrits. Les suffisances matamoresques appellent la finale crevaison grenouillère